Au collège Burnhaupt avec Difé Kako

Superbe flashmob avec les 580 élèves du collège Nathan-Katz et les danseurs de la compagnie Difé Kako, en résidence dans l'établissement.

Financé par le Gip Acmisa, la résidence en milieu scolaire permet la rencontre avec un ou plusieurs artistes, une œuvre, un style artistique...Cette résidence a permis d'amener la culture à Burnhaupt, au collège, aux élèves et à l'ensemble de la communauté éducative de l’établissement.

Un projet fédérateur : une ouverture sur le monde et sa diversité pour tous

Un projet exceptionnel qui a permis une vraie mise en synergie des différents acteurs de l’établissement autour d’un projet pluri-thématiques (les femmes engagées, la lutte contre l’esclavagisme, le développement durable) axé sur la création artistique, corporelle, musicale...

A propos de la compagnie Difé Kako

La compagnie Difé Kako se compose de danseurs et de danseuses possédant une formation de danse pluridisciplinaire (classique, moderne, jazz, danses traditionnelles de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique Centrale, du Mahgreb, de la Guadeloupe, de la Martinique) et de musiciens maîtrisant différentes percussions et instruments (djembé, dum-dum, les tambours ka, maracas, cha-cha, accordéon, basse, balafon, ti-bwa, steel pan).

 


 

 

Une flashmob au collège avec Dife Kako

Les danseurs de la compagnie Dife Kako, en résidence pour quelques jours au collège Nathan-Katz à Burnhaupt-le-Haut, ont animé avant les vacances une super flashmob (que l’on peut traduire par mobilisation ou foule éclair) regroupant 580 élèves issus de 20 classes de 6e , 5e , 4e  et 3e .

Chaque classe se différenciait par des t-shirts de différentes couleurs, rouge, vert, jaune ou bleu. Chantal Loïal, directrice artistique de la compagnie Dife Kako, a élaboré avec le groupe d’animation une chorégraphie qui s’inspire des danses antillaises et africaines. Lundi dernier, c’est sous forme d’une flashmob que les 580 élèves ont effectué une courte danse dans la cour avant une dispersion tout aussi rapide. Ils ont évolué en musique jouée par un petit groupe au son d’un tambour Ka de Guadeloupe, d’un Ti-bwa de Martinique et d’un djembé africain.

Tous les enseignants ont pris part activement à l’évènement avec le principal du collège Éric Miolin et son principal-adjoint Christophe Harnist, qui ont expliqué que les animations et les activités culturelles contribuaient à faire battre le cœur de l’établissement et des élèves. « La situation excentrée du collège, par rapport aux établissements culturels du Pays Thur-Doller, nous oblige à recevoir beaucoup d’artistes en résidence et en visite dans nos locaux pour éviter les déplacements au moyen de gros véhicules… »

Mise à jour : juin 2022