Le mot "baroque" vient {1:MC:du grec « barocco » signifiant « mouvement » #Faux~=du portugais « barroco » signifiant « perle irrégulière »#Juste~du latin « barocum » signifiant « étrangeté »#Faux}
Le mouvement baroque s'est développé principalement{1:MC:au XVIème siècle #Faux~=au XVIIème siècle#Juste~au XVIIIème siècle#Faux}
Deux auteurs emblématiques du mouvement baroque sont {1:MC:Racine et Boileau#Faux~=Saint-Amant et Théophile de Viau#Juste~Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Faux}
Les grands thèmes abordés par le mouvement baroque sont{1:MC:la fuite du temps, la mythologie et le sentiment amoureux#Faux~la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Faux~=l'instabilité, l'apparence, l'illusion, le mouvement, le bizarre, l'eau en mouvement, le miroir#Juste}
Les auteurs baroques ont écrit{1:MC:uniquement des romans#Faux~=des oeuvres dans tous les genres#Juste~uniquement de la poésie#Faux}
Un compositeur baroque porte le nom de{1:MC:Beethoven#Faux~=Monteverdi#Juste~Mozart#Faux}
Un peintre baroque porte le nom de{1:MULTICHOICE:=le Caravage#Bonne réponse~Nicolas Poussin#Mauvaise réponse~René Magritte#Mauvaise réponse}
Le mouvement baroque a des origines {1:MC:françaises#Faux~=italiennes#Juste~anglaises#Faux} mais ce mouvement s'est développé partout en {1:SA:=Europe#Juste}.
Le baroque émerge dans une période de {1:MC:stabilité#Faux~=crise#Juste} et prend place dans une époque métamorphosée par les grandes découvertes et les progrès techniques.
Le baroque est fortement marqué par la réaction des catholiques à la Réforme qui s'appelle la {1:SA:=Contre-Réforme#Juste}.
Privilégiant l'excès, la profusion et l'illusion, le mouvement baroque s'oppose au mouvement {1:SA:=classique#Juste}.
Un recueil célèbre de poésie baroque s'appelant Les Amours tragiques de Pyrame et Thisbé a été écrit par Théophile {1:SA:= de Viau#Juste}
Le théâtre baroque joue sur les frontières floues entre la réalité et l'illusion. L'Illusion comique, pièce baroque, a été écrite par Pierre {1:SA:=Corneille#Juste}, connu également pour ses pièces classiques.
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Le mot « classicisme » vient{1:MC:du mot grec « klassikos » signifiant traditionnel#Faux~du mot hébreu « klassos » signifiant ancien#Faux~=du mot latin « classicus » signifiant de première classe#Juste}
Le mouvement du classicisme s'est développé principalement{1:MC:au XVIème siècle#Faux~=au XVIIème siècle#Juste~au XVIIIème siècle#Faux}
Deux auteurs emblématiques du classicisme sont{1:MC:= Jean Racine et Nicolas Boileau#Juste~Victor Hugo et Alfred de Musset#Faux~Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Faux}
Les deux grands principes du classicisme sont{1:MC:convaincre et persuader#Faux~oser et agir#Faux~=plaire et instruire#Juste}
Les principes plus précis du classicisme sont{1:MC:la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Faux~=la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Juste~l'importance accordée à l'individu et à la sensibilité#Faux}
Les auteurs classiques ont écrit{1:MC:=des œuvres dans tous les genres#Juste~uniquement des pièces de théâtre#Faux~uniquement de la poésie#Faux}
Un peintre classique porte le nom de{1:MC:le Caravage#Faux~=Nicolas Poussin#Juste~Caspar David Friedrich#Faux}
Les dates du classicisme correspondent à peu près aux dates du règne du roi {1:SA:=Louis XIV#Juste} qui régna de la deuxième moitié du {1:SA:=XVII#Juste}ème siècle à l'année {1:SA:=1715#Juste}.
L’esthétique classique servira l’image de puissance et d’autorité soit en pleine monarchie {1:MC:constitutionnelle#Faux~=absolue#Juste}avec un pouvoir centralisé qui cherche à imposer l'ordre et son autorité.
La centralisation monarchique dépasse le cadre politique pour toucher le domaine culturel.
« La querelle des Anciens et des {1:SA:=Modernes #Juste}», à partir de 1687, préfigure la fin de ce courant.
Comme les écrivains de la Renaissance, les classiques se donnent pour modèles, les auteurs {1:SA:=grecs#Juste} et {1:SA:=latins#Juste} comme Esope et Phèdre par exemple pour les fables.
L'imitation n’est pas un plagiat : il s’agit de s’inspirer d’un auteur antique connu pour atteindre l'universel.
Le mouvement classique voue un véritable culte à la raison.
Sous l’autorité de la raison, s’érige un système très strict de règles dans chaque genre respectant la recherche de la clarté, de la logique et de la vraisemblance.
Au théâtre la règle des trois {1:SA:=unités#Juste}est primordiale.
La règle de {1:SA:=vraisemblance#Juste}rend compte du souci classique de rendre compte du réel et la règle de {1:SA:=bienséance#Juste} révèle la volonté classique de ne pas choquer le lecteur ou le spectateur.
Le souci de clarté se traduit en littérature, par le recours à un langage simple et précis, principe résumé par Nicolas {1:SA:=Boileau#Juste} dans son Art poétique : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement / Et les mots pour le dire viennent aisément. »
Les productions classiques se donnent pour finalité d'élever les hommes.
L'{1:SA:=honnête#Juste}homme incarne la perfection classique de mesure et d'élégance.
Dans ses célèbres fables, Jean de La Fontaine s'inspire du fabuliste grec {1:SA:=Esope#Juste} et du fabuliste latin {1:SA:=Phèdre#Juste}.
L'auteur des Caractères s'appelle Jean {1:SA:=La Bruyère#Juste}.
L'auteur de La Princesse de Clèves s'appelle Mme de {1:SA:=La Fayette#Juste}.
L'auteur de Phèdre et de Britannicus s'appelle Jean {1:SA:=Racine#Juste}.
Le plus célèbre auteur de comédies classiques est {1:SA:=Molière#Juste}.
Un moyen mnémotechnique pour retenir le nom des grands auteurs classiques :
« Sur la racine de la bruyère, la corneille boit l’eau de la fontaine Molière »
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Le mouvement humaniste est apparu{1:MC:=au XVIème siècle#Bonne réponse~au XVIIème siècle#Mauvaise réponse~au XVIIIème siècle#Mauvaise réponse}
Deux auteurs emblématiques de l'humanisme sont{1:MC:Charles Baudelaire et Victor Hugo#Faux~Alfred de Musset et Alphonse de Lamartine#Faux~=Michel de Montaigne et Etienne de la Boétie#Juste}
Les auteurs humanistes ont été fortement influencés par{1:MC:les auteurs classiques#Faux~=les auteurs grecs et latins#Juste~les auteurs surréalistes#Faux}
Les auteurs humanistes souhaitent {1:MC:montrer les limites de la langue française#Faux~refuser le progrès et les nouvelles découvertes#Faux~=rivaliser avec les auteurs antiques et défendre la langue française#Juste}
L'humanisme est marqué par les découvertes récentes de nouveaux territoires dont celle du continent {1:SA:=américain#Juste}
La découverte de nouveaux peuples remet en cause l'ethnocentrisme et appelle à l'ouverture à l'autre appelée aussi {1:SA:=tolérance#Juste}
Les découvertes de Galilée et de Copernic remettent en cause le fait que la Terre est le centre de l'univers, théorie qu'on appelle le {1:SA:=géocentrisme#Juste}
Les humanistes célèbrent l'invention de Gutenberg qui permet une vaste diffusion du savoir et qui s'appelle l'{1:SA:=imprimerie#Juste}
De nombreux artistes sont invités à la cour des rois français dont le célèbre artiste qui a dessiné l'Homme de Vitruve {1:SA:=Léonard de Vinci#Juste}
L'humanisme est fortement marqué par les guerres de Religion qui touchent la France depuis l'apparition de la religion {1:SA:=protestante#Juste}
Luther et Calvin souhaitent revenir aux sources du christianisme et lancent la{1:SA:= Réforme#Juste}
Les catholiques réagissent à l'apparition du protestantisme et lancent quant à eux la {1:SA:=Contre-Réforme#Juste}
L'humanisme souhaite revenir aux auteurs antiques et remet en cause la période qui a précédé la Renaissance à savoir {1:SA:=le Moyen Age#Juste}
L'humanisme est fortement influencé par deux grands courants de pensée antiques : le stoïcisme et {1:SA:=l'épicurisme#Juste}
L'humanisme souhaite avant tout remettre l'{1:MC:la religion#Faux~=l'homme#Juste} au centre.
L'humanisme se caractérise par une grande soif de connaissances et met au premier plan l'{1:MC:l'obéissance aux règles#Faux~=l'éducation#Juste~l'absence de libre-arbitre#Faux} et la culture.
De nombreux auteurs humanistes, dont Thomas More, inventent des cités et sociétés idéales qu'on appelle {1:SA:=utopies#Juste}
Les auteurs humanistes souhaitent s'exprimer en langue {1:SA:=française#Juste}et non plus en latin.
L'oeuvre la plus célèbre de Montaigne s'appelle {1:SA:=les Essais#Juste}
L'oeuvre la plus célèbre d'Etienne de la Boétie s'appelle {1:SA:=Discours sur la servitude volontaire#Juste}
L'auteur de Gargantua et de Pantagruel s'appelle François{1:SA:=Rabelais#Juste}
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Le mouvement des Lumières s'appelle ainsi car il souhaite{1:MC:=éclairer le peuple et le sortir de l'obscurantisme#Juste~mettre le roi en valeur#Faux~faire la lumière sur les textes antiques#Faux}
Le mouvement des Lumières s'est développé principalement {1:MC:au XVIIème siècle#Faux~=au XVIIIème siècle#Juste~Mauvaise réponse#au XIXème siècle}
Deux auteurs emblématiques des Lumières sont{1:MC:Racine et Boileau#Faux~Victor Hugo et Alfred de Musset#Faux~=Voltaire et Diderot#Juste}
Les grands principes du mouvement des Lumières sont{1:MC:=la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Juste~la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~l'importance accordée à l'individu et à la sensibilité#Faux}
Les auteurs des Lumières ont principalement écrit{1:MC:de la poésie#Faux~des romans#Faux~=des essais, des discours et des contes philosophiques#Juste}
Les auteurs ayant présidé à la rédaction de l'Encyclopédie, œuvre phare des Lumières, sont{1:MC:Rousseau et l'abbé Prévost#Faux~Choderlos de Laclos et Olympe de Gouges#Faux~=Diderot et d'Alembert#Juste}
Les Lumières sont un vaste mouvement philosophique, littéraire et scientifique qui domine le monde des idées en Europe au XVIIIème siècle.
La mort du roi {1:SA:=Louis XIV#Juste}en 1715 fait souffler un vent de liberté sur la France. La vie intellectuelle se libère et se diffuse dans les Cafés et les {1:SA:=Salons#Juste} lieux où se réunissent les lettrés. Les conversations trouvent un écho dans la littérature dans les dialogues philosophiques comme le Neveu de{1:SA:=Rameau#Juste}de Denis Diderot.
Le livre se diffuse et apparaît le premier quotidien français appelé le Journal de {1:SA:=Paris#Juste}.
Les auteurs des Lumières sont impliqués dans les affaires politiques et sociales de leur temps : ce sont des auteurs engagés. On peut citer par exemple l'implication de Voltaire dans l'affaire Jean {1:SA:=Calas#Juste}.
La devise en latin des Lumières proposée par Emmanuel Kant dans son célèbre Qu'est-ce que les Lumières est la formule latine "sapere{1:SA:=aude#Juste}, "aie le courage de te servir de ton propre entendement" ou "ose savoir".
Le grand combat des Lumières est résumé en ces termes de Voltaire : "écrasez {1:SA:=l'infâme#Juste}". Il s'agit de lutter contre le fanatisme, l'ignorance, les préjugés, le dogme religieux et tous les ennemis de la raison.
Les Lumières luttent contre la superstition et le fanatisme religieux. Certains auteurs, comme Diderot, sont même athées voire anticléricaux. Voltaire quant à lui croit en un être supérieur mais rejette les rites religieux : il est {1:SA:=déiste#Juste}.
Les auteurs des Lumières rejettent la monarchie absolue et prônent au contraire, pour certains, un nouveau modèle dirigé par un "despote {1:SA:=éclairé#Juste}.
Les auteurs des Lumières s'engagent enfin sur des questions de société, notamment contre l'esclavage comme dans De l'esclavage des nègres de{1:SA:=Montesquieu#Juste}.
Comme Montaigne et les auteurs du mouvement {1:SA:=humaniste#Juste} deux siècles avant eux, les auteurs des Lumières ont foi en l'homme et en l'humanité.
Ils utilisent par ailleurs des formes originales pour diffuser le savoir comme les dictionnaires ou l'{1:SA:=Encyclopédie#Juste}grande oeuvre collaborative des Lumières ou encore des contes{1:SA:= philosophiques#Juste} comme Candide de Voltaire.
L'auteur du Dictionnaire philosophique, de Candide et du Traité sur la tolérance est {1:SA:=Voltaire#Juste}.
L'auteur de De l'Esprit des {1:SA:=lois#Juste}et des Lettres {1:SA:=persanes#Juste}est Montesquieu.
L'auteur du Discours sur l'origine de l'inégalité parmi les hommes est Jean-Jacques{1:SA:=Rousseau#Juste}
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Le mouvement du naturalisme s'est développé{1:MC:au XVIIème siècle#Faux~au XVIIIème siècle#Faux~=à la fin du du XIXème siècle#Juste}
Le mot « naturalisme » signifie initialement {1:MC:qui prône le retour à la nature#Faux~=qui étudie l'histoire et les sciences naturelles#Juste~qui s'oppose à la culture#Faux}
Deux auteurs emblématiques du naturalisme sont{1:MC:Leconte de Lisle et Théophile Gautier#Faux~Rimbaud et Mallarmé#Faux~=Zola et les frères Goncourt#Juste}
Le naturalisme est né{1:MC:dans le prolongement des Lumières#Faux~dans le prolongement des règles classiques#Faux~=dans le prolongement du réalisme#Juste}
Les grands thèmes du naturalisme sont{1:MC:l'instabilité, l'apparence, l'illusion, le mouvement, le bizarre, l'eau en mouvement, le miroir#Faux~la beauté froide des bijoux, l'Antiquité et l'archéologie#Faux~=l'étude de l'hérédité et du milieu, le monde du travail et la Révolution industrielle#Juste}
Les grands principes du naturalisme sont{1:MC:l'importance accordée à l'individu et à la sensibilité, la mélancolie et l'exotisme#Faux~la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~=l'approfondissement du réalisme et l'influence des sciences expérimentales et de la médecine#Juste}
Les auteurs du naturalisme ont principalement écrit{1:MC:=des romans et des nouvelles#Juste~des pièces de théâtre#Faux~de la poésie#Faux}
Le naturalisme apparaît après le réalisme qui fait lui-même suite à la désillusion de la révolution de l'année {1:SA:=1848#Juste}: la bourgeoisie, classe dominante, se soucie de ses seuls intérêts.
La révolution {1:SA:=industrielle#Juste}crée des emplois en ville et crée un exode rural.
La foi en le progrès se répand et la scienceest perçue comme la solution à tous les problèmes.
La philosophie positiviste d'Auguste {1:SA:=Comte#Juste}est en plein essor.
Dans ce contexte positiviste, le naturalisme s'inscrit dans la droite lignée du mouvement {1:SA:=réaliste#Juste}apparu lui aussi au XIXème siècle.
Comme dans le mouvement réaliste, il s'agit pour les auteurs naturalistes de dire le réel au plus près en proposant des descriptions précises et en rejetant les intrigues trop romanesques. L'observation du monde contemporain est un moteur importance de la création chez les réalistes qui réunissent souvent une abondante documentation.
Emile Zola utilise pour la première fois le terme "naturaliste" en 1866 après avoir lu l’Introduction à l’étude de la médecine expérimentale du physiologiste Claude {1:SA:=Bernard#Juste}.
Emile Zola prend comme modèle d'écriture la méthode {1:MC:abstraite#Faux~=scientifique#Juste}
Dans ses ouvrages, Zola s’attache à montrer « scientifiquement » les effets du {1:MC:potentiel#Faux~=déterminisme#Juste} biologique (l’hérédité de l’alcoolisme, entre autres) sur le comportement de ses héros.
De nouvelles classes sociales deviennent des personnages à part entière : la bourgeoisie et le monde {1:MC:artistique#Faux~=ouvrier#Juste}. Le naturalisme s’attache à peindre les milieux populaires. ( Les ouvriers chez Zola ou les paysans normands chez Maupassant).
Emile Zola écrit un cycle de vingt romans, Les Rougon- {1:SA:=Macquart#Juste},Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire.
Réunis autour de Zola, les auteurs naturalistes publient un recueil de nouvelles naturalistes qui servent de manifeste au mouvement : Les soirées de {1:SA:=Médan#Juste} (1880)
Les frères {1:SA:=Goncourt#Juste}, qui ont donné leur nom à un célèbre prix littéraire, publient quant à eux par exemple Germinie Lacerteux.
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Le Nouveau Roman s'est développé {1:MC:au début du XIXème siècle#Faux~dans les premières années du XXème siècle#Faux~=dans la deuxième moitié du XXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du Nouveau Roman sont {1:MC:André Breton et Robert Desnos#Faux~=Alain Robbe-Grillet et Michel Butor#Juste~Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Faux}
Les grands principes du Nouveau Roman sont {1:MC:l'importance du hasard et de l'insolite, le refus des règles et de la rationalité#Faux~ la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~=le refus des règles traditionnelles du roman, la déconstruction du personnage et de l'intrigue, la remise en cause du personnage#Juste}
]]>Le mot «Parnasse » vient {1:MC:d'une nymphe grec#Faux~=du nom d'un massif montagneux consacré à Apollon et aux Muses#Juste~d'un quartier de Paris#Faux}
Le mouvement du Parnasse s'est développé {1:MC:au XVIIème siècle#Faux~au XVIIIème siècle#Faux~=au milieu du XIXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du Parnasse sont {1:MC:=Leconte de Lisle et Théophile Gautier#Juste~Rimbaud et Mallarmé#Faux~Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Faux}
Le Parnasse est né {1:MC:dans le prolongement des Lumières#Faux~dans le prolongement du naturalisme#Faux~=en réaction contre la poésie romantique#Juste}
Les grands thèmes du Parnasse sont {1:MC:l'instabilité, l'apparence, l'illusion, le mouvement, le bizarre, l'eau en mouvement, le miroir#Faux~=la beauté froide des bijoux et l'Antiquité #Juste~l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Faux}
Les grands principes du Parnasse sont {1:MC:l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Faux~l'importance accordée à l'individu et à la sensibilité, la mélancolie et l'exotisme#Faux~=le refus de la sensibilité, le goût pour la description dans la poésie et l'Art pour l'Art#Juste}
Les auteurs du Parnasse ont principalement écrit {1:MC:des essais#Faux~des pièces de théâtre#Faux~=de la poésie#Juste}
Le Parnasse est apparu en réaction contre les effusions du grand mouvement poétique du début du XIXème siècle, le {1:SA:=romantisme#Juste}. La poésie du début du XIXème siècle est en effet jugée trop éloquente et sentimentale par les poètes du Parnasse.
L'autre nom du Parnasse est l'Art pour{1:SA:=l'Art#Juste}.
Ce mouvement a été théorisé par Théophile Gautier dans la préface de son roman Mademoiselle {1:SA:=Maupin#Juste}.
Les poètes du Parnasse récusent par ailleurs la mission civilisatrice et prophétique attribuée au poète par Victor{1:SA:= Hugo#Juste} dans "Fonction du poète". L'art doit se dégager des contingences matérielles et traiter uniquement de la beauté. Le Parnasse refuse une poésie utile car comme le dit Théophile Gautier : "tout ce qui est utile est {1:SA:=laid#Juste}". La poésie parnassienne est un véritable travail d'orfèvre. La valeur travail est valorisée au détriment de l'inspiration.
Selon les Parnassiens, leur poésie est réservée à des initiés qui constituent une sorte d'élite.
Le recueil Poèmes {1:SA:= barbares#Juste} a été écrit par Leconte de Lisle.
Le recueil Emaux et{1:SA:= camées#Juste} a été écrit par Théophile Gautier.
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Le mouvement de la Pléiade est apparu {1:MC:=au XVIème siècle#Bonne réponse~au XVIIème siècle#Mauvaise réponse~au XVIIIème siècle#Mauvaise réponse}
La Pléiade est à l'origine {1:MC:un groupe de nymphes de l'Antiquité#Faux~=une constellation#Juste~un instrument de musique#Faux}
Les poètes de la Pléiade sont pour la plupart issus d'un groupe appelé {1:MC:l'Escorte#Faux~=la Brigade#Juste~L'Equipe#Faux}
Deux poètes emblématiques de la Pléiade sont{1:MC:Charles Baudelaire et Victor Hugo#Faux~Alfred de Musset et Alphonse de Lamartine#Faux~=Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay#Juste}
Les poètes de la Pléiade ont été fortement influencés par{1:MC:les auteurs orientaux#Faux~=les auteurs grecs et latins#Juste~les scientifiques de la Renaissance#Faux}
Les poètes de la Pléiade souhaitent{1:MC:continuer à écrire en latin#Faux~ridiculiser les auteurs antiques#Faux~=rivaliser avec les auteurs antiques et défendre la langue française#Juste}
Les grands thèmes abordés par la Pléiade sont{1:MULTICHOICE:=la fuite du temps, la mythologie et le sentiment amoureux#Bonne réponse~la métamorphose, l'illusion, l'apparence#Mauvaise réponse~l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Mauvaise réponse}
Joachim du Bellay a écrit {1:MC:Odes à Cassandre#Faux~=Défense et illustration de la langue française et Les Regrets#Juste~Les Fleurs du Mal#Faux}
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Le mouvement du réalisme s'est développé {1:MC:au XVIIème siècle#Faux~au XVIIIème siècle#Faux~=au milieu du XIXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du réalisme sont {1:MC:Leconte de Lisle et Théophile Gautier#Faux~Rimbaud et Mallarmé#Faux~=Balzac et Flaubert#Juste}
Le réalisme est né{1:MC:dans le prolongement des Lumières#Faux~=en réaction contre le lyrisme et l'idéalisation romantique#Juste~dans le prolongement du naturalisme#Faux}
Les grands thèmes du réalisme sont{1:MC:=l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Juste~l'instabilité, l'apparence, l'illusion, le mouvement, le bizarre, l'eau en mouvement, le miroir#Faux~la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Faux}
Les grands principes du réalisme sont {1:MC:le refus de la sensibilité, le goût pour la description dans la poésie et l'Art pour l'Art#Faux~la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~=l'observation et la reproduction fidèle du réel#Juste}
Les auteurs du réalisme ont principalement écrit {1:MC:=des romans et des nouvelles#Juste~des pièces de théâtre#Faux~de la poésie#Faux}
Un peintre réaliste porte le nom de {1:MC:Nicolas Poussin#Faux~Arnold Böcklin#Faux~=Gustave Courbet#Juste}
Le réalisme apparaît après la désillusion de la révolution de l'année{1:SA:=1848#Juste}: la bourgeoisie, classe dominante se soucie de ses seuls intérêts.
La révolution {1:SA:=industrielle#Juste}crée des emplois en ville et crée un exode rural.
La foi en le progrès se répand et la science est perçue comme la solution à tous les problèmes.
La philosophie positiviste d'Auguste {1:SA:=Comte#Juste}est en plein essor.
Dans ce contexte positiviste, le réalisme naît aussi en réaction contre le mouvement {1:SA:=romantique#Juste}et ses épanchements lyriques.
Le mot "réalisme" apparaît en 1850 et a été utilisé en premier pour caractériser la manière de peindre de Gustave Courbet notamment dans son tableau Enterrement à {1:SA:=Ornans#Juste}.
Il s'agit de dire le réel au plus près en proposant des descriptions précises et en rejetant les intrigues trop romanesques. L'observation du monde contemporain est un moteur importance de la création chez les réalistes qui réunissent souvent une abondante documentation.
Les romans et les nouvelles réalistes traitent de la banalité de la vie, accordent une grande importance au corps et refusent la bienséance comme en témoigne le procès intenté à Flaubert pour son roman Madame {1:SA:=Bovary#Juste}
De nouvelles classes sociales deviennent des personnages à part entière : la bourgeoisie et le monde ouvrier.
Les personnages ne sont plus idéalisés et sont bien loin d'être héroïques : on passe de personnages extraordinaires à des personnages de la vie {1:SA:=quotidienne#Juste}
L'auteur d'une vaste oeuvre romanesque appelée La Comédie humaine s'appelle Honoré de {1:SA:=Balzac#Juste}
L'auteur de La Chartreuse de Parme et du roman Le Rouge et le Noir s'appelle {1:SA:=Stendhal#Juste}
L'auteur de l'Education sentimentale s'appelle Gustave {1:SA:=Flaubert#Juste}
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Le mot « romantisme » vient {1:MC:=de l'ancien français « roman » qui signifie « en langue vulgaire »#Juste~du mot grec « romanos » qui signifie « inconnu »#Faux~d'une langue inconnue#Faux}
Le mouvement du romantisme s'est développé{1:MC:au XVIIème siècle#Faux~au XVIIIème siècle#Faux~=au XIXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du romantisme sont{1:MC:Racine et Boileau#Faux~=Victor Hugo et Alfred de Musset#Juste~Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Faux}
Le romantisme est en rupture avec{1:MC:=les règles, le goût et le Beau classiques#Juste~la volonté de mettre le moi au centre#Faux~le goût pour la nature#Faux}
Les grands principes du romantisme sont{1:MC:la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Faux~=l'importance accordée à l'individu et à la sensibilité, la mélancolie et l'exotisme#Juste~la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux}
Les auteurs romantiques ont écrit {1:MC:=des œuvres dans tous les genres#Juste~uniquement des romans#Faux~uniquement des pièces de théâtre#Faux}
Un compositeur romantique porte le nom de {1:MC:Monteverdi#Faux~Mozart#Faux~=Chopin#Juste}
Un peintre romantique porte le nom de{1:MC:Nicolas Poussin#Faux~René Magritte#Faux~=Caspar David Friedrich#Juste}
Mouvement littéraire et culturel de la première moitié du{1:SA:=XIX#Juste}ème siècle, le romantisme exalte l'imagination, les émotions et la sensibilité mais il apparaît dès le XVIIIème siècle en Allemagne. Goethe et les artistes du Sturm un Drang célèbrent notamment l'accord entre l'homme et la{1:MC:culture#Faux~science#Faux~=nature#Juste}.
Les artistes romantiques français sont pris entre espoirs et désenchantements face aux mutations politiques. Ils n'hésitent pas à s'engager dans l'histoire pour défendre leurs idéaux et occupent mêmes des fonctions {1:SA:=politiques#Juste}. Lamartine a été élu député par exemple.
Le romantisme est avant tout une réaction contre le mouvement {1:SA:=classique#Juste} du XVIIème siècle qui privilégie la raison ainsi que la mesure et refuse les épanchements lyriques.
Une attention particulière est portée au Moi et à ses états d'âme.
De nombreux auteurs romantiques sont touchés par une tristesse si emblématique qu'on l'appelle "Mal du {1:SA:=siècle#Juste}".
Les thèmes phares du romantisme sont l'amour, le goût pour la nature, l'Orient et la tentation de l'Ailleurs, le culte du passé, la rêverie, la solitude et la mélancolie, l'homme éphémère face à la nature éternelle, la révolte et la société, le poète investi d'une mission politique et sociale.
En poésie, les poètes privilégient le registre{1:SA:=lyrique#Juste} c'est-à-dire l'expression des sentiments et le registre{1:SA:=élégiaque#Juste}c'est-à-dire l'expression de la plainte. Mais les poètes romantiques peuvent également écrire des poèmes épiques et des pamphlets.
Victor Hugo théorise le {1:SA:=drame#Juste}romantique qui remet en cause les règles du théâtre{1:SA:=classique#Juste} et refuse la séparation des genres pour privilégier l'expression des sentiments souvent exaltés.
Le roman est lui aussi très prisé des auteurs romantiques.
L'auteur des Misérables, des Châtiments et de la Préface de Cromwell s'appelle Victor{1:SA:= Hugo#Juste}
L'auteur des Méditations poétiques est Alphonse de {1:SA:=Lamartine#Juste}, l'un des fondateurs du romantisme.
L'auteur de Lorenzaccio et des Confessions d'un enfant du siècle est Alfred de {1:SA:=Musset#Juste}.
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Le mot « surréalisme » apparaît pour la première fois {1:MC:= dans un texte du poète Guillaume Apollinaire en 1918#Juste~dans un texte d'André Breton, figure de proue du surréalisme#Faux~Mauvaise réponse dans un texte de Victor Hugo#Faux}
Le mouvement surréaliste s'est développé{1:MC:à la fin du XIXème siècle#Faux~dans les premières années du XXème siècle#Faux~=de la fin de la Première Guerre mondiale à la deuxième moitié du XXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du surréalisme sont{1:MC:Rimbaud et Mallarmé#Faux~René Char et Yves Bonnefoy#Faux~=André Breton et Robert Desnos#Juste}
Le surréalisme est né {1:MC:en réaction contre le dadaïsme#Faux~=au lendemain de la Première Guerre mondiale dans le prolongement du dadaïsme#Juste~dans le prolongement du naturalisme#Faux}
Les grands principes du surréalisme sont {1:MC:la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~l'approfondissement du réalisme et l'influence des sciences expérimentales et de la médecine#Faux~=l'importance du hasard et de l'insolite, le refus des règles et de la rationalité#Juste}
Les grands thèmes du surréalisme sont{1:MC:l'instabilité, l'apparence, l'illusion, le mouvement, le bizarre, l'eau en mouvement, le miroir#Faux~=l'amour fou, la magie, le rêve et l'inconscient#Juste~ l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Faux}
Un peintre surréaliste porte le nom de{1:MC:Nicolas Poussin#Faux~Arnold Böcklin#Faux~=René Magritte#Juste}
Le mouvement surréaliste se développe au lendemain de la {1:SA:=Première #Juste}Guerre mondiale. Ce mouvement succède au {1:SA:=dadaïsme #Juste}de Tristan Tzara.
André {1:SA:=Breton #Juste} est considéré comme le chef de file du surréalisme et son principal théoricien. Il publie en 1921 le premier {1:SA:=Breton #Manifeste}du Surréalisme et pose les bases de l’esthétique surréaliste : « Automatisme psychique pur, par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout {1:SA:=contrôle#Juste} exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou {1:SA:=morale #Juste}.Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d’associations négligées jusqu’à lui, à la toute-puissance du{1:SA:=rêve #Juste}, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. »
Le surréalisme est inspiré par les découvertes par Sigmund {1:SA:=Freud #Juste}et explore les zones de l'{1:SA:=inconscient #Juste}. Pour cela les écrivains surréalistes recourent à l'{1:SA:=écriture #Juste}automatique.
Les surréalistes proposent également de nombreux jeux poétiques comme les "cadavres {1:SA:=exquis #Juste}".
Les poètes surréalistes éclatent les formes fixes et recourent souvent aux vers {1:SA:=libres #Juste}
Les surréalistes les plus célèbres sont Louis {1:SA:=Aragon #Juste}, Paul {1:SA:=Eluard #Juste}et Philippe {1:SA:=Soupault #Juste}.
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Le mot « symbolisme » vient {1:MC:=du mot grec « symbolon » qui signifie « signe de reconnaissance »#Juste~d'une langue inconnue#Faux~de l'anglais « symbolize » signifiant « symboliser »#Faux}
Le mouvement du symbolisme s'est développé {1:MC:au XVIème siècle#Faux~au début du XIXème siècle#Faux~=à la fin du XIXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du symbolisme sont {1:MC:=Rimbaud et Mallarmé#Juste~Leconte de Lisle et Théophile Gautier#Faux~Victor Hugo et Alfred de Musset#Faux}
Le symbolisme est né {1:MC:en réaction contre la poésie baudelairienne#Faux~=dans le prolongement de la poésie de Baudelaire et en réaction contre le naturalisme#Juste~dans le prolongement des règles classiques#Faux}
Les grands thèmes du symbolisme sont {1:MC:la critique des préjugés, la lutte contre fanatisme, le refus des dogmes religieux, la tolérance et la liberté#Faux~l'étude des mœurs, l'influence du milieu sur l'individu, la société#Faux~=la mythologie, les mondes cachés et les correspondances#Juste}
Les auteurs symbolistes ont principalement écrit {1:MC:des essais#Faux~des romans#Faux~=de la poésie#Juste}
Un compositeur symboliste porte le nom de {1:MC:Monteverdi#Faux~=Debussy#Juste~Dusapin#Faux}
Un peintre symboliste porte le nom de {1:MC:Nicolas Poussin#Faux~Salvador Dali#Faux~=Arnold Böcklin#Juste}
Le symbolisme apparaît en pleine émergence du positivisme, mouvement initié par Auguste {1:SA:=Comte#Juste} qui naît avec le triomphe des sciences et des techniques. Le symbolisme s'y oppose et privilégie la sensibilité et l'irrationnel.
Le terme "symbolisme" est utilisé pour la première fois dans Le Manifeste littéraire de Jean {1:SA:=Moréas#Juste}qui considère l'auteur des Fleurs du Mal, Charles {1:SA:= Baudelaire#Juste}comme le précurseur de ce mouvement.
Le poète Stéphane {1:SA:=Mallarmé#Juste}fera figure de chef de file du symbolisme.
Le symbolisme rejette la vision matérialiste du monde, le naturalisme et la poésie parnassienne.
L'écrivain et le poète sont investis d'une mission sacrée comme l'indique Arthur Rimbaud dans sa célèbre Lettre du {1:SA:=voyant#Juste}
Pour le symbolisme, il est possible d'associer un être ou un objet à une idée. Les figures de l'analogie qui opèrent des rapprochements comme la comparaison et la {1:SA:=métaphore#Juste}sont des figures fondamentales dans ce mouvement.
Le symbolisme présuppose une adéquation entre le monde matériel et le monde spirituel : on parle de {1:SA:=correspondances#Juste}, terme qui est d'ailleurs le titre d'un poème de Charles Baudelaire.
Le symbolisme joue beaucoup sur la suggestion comme l'indique le poète Stéphane Mallarmé: "Nommer un objet, c'est supprimer les trois quarts de la jouissance du poème qui est faite de deviner peu à peu; {1:SA:=#suggérer}, voilà le rêve."
La musicalité du poème est primordiale comme l'indique Paul Verlaine dans la phrase : "De la {1:SA:=musique#Juste} avant toute chose".
L'auteur d'un Coup de dés est Stéphane{1:SA:=Mallarmé#Juste}.
L'auteur des Fêtes galantes et des Poèmes saturniens est Paul {1:SA:=Verlaine#Juste}
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Le théâtre de l'Absurde s'est développé {1:MC:au début du XIXème siècle#Faux~dans les premières années du XXème siècle#Faux~=au milieu du XXème siècle#Juste}
Deux auteurs emblématiques du théâtre de l'Absurde sont {1:MC:André Breton et Robert Desnos#Faux~=Samuel Beckett et Eugène Ionesco#Juste~Alain Robbe-Grillet et Michel Butor#Faux}
Les grands principes du théâtre de l'Absurde sont {1:MC:l'approfondissement du réalisme et l'influence des sciences expérimentales et de la médecine#Faux~la séparation des genres, le respect des règles, les principes d'ordre, d'équilibre, de mesure et de simplicité#Faux~=l'expression de l'étrangeté de l'homme, le refus du théâtre classique, de la psychologie et des règles traditionnelles#Juste}
Les auteurs du théâtre de l'absurde sont fortement marqués par la {1:SA:=Deuxième #Juste}Guerre mondiale.
L'Absurde est l'expression de l'impuissance de l'homme à trouver un sens à l'existence.
Le théâtre de l'Absurde propose souvent une réflexion sur le destin, la mort, l'incompréhension qui sont des thèmes relevant du registre {1:SA:=tragique#Juste} mais les aborde souvent avec des procédés du registre {1:SA:=comique#Juste}afin de faire sourire les spectateurs.
Dans La Cantatrice chauve, le dramaturge Eugène {1:SA:=Ionesco#Juste} évoque la question centrale de l'inadaptation et de la désarticulation du langage en écrivant notamment des dialogues délibérément incohérents ou contradictoires.
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